Vmax et Km sont déterminés à l'aide de l'équation de Michaëlis-Menten, soit par régression linéaire selon les modèles ci-dessous, soit par régression non linéaire |
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Représentation Lineweaver-Burk |
Cette représentation fût publiée en 1934 |
L'équation de Michaëlis-Menten est linéarisée en |
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Cette representation est une droite qui coupe l'axe des 1/[S] en -1/Km et l'axe des 1/Vi en 1/Vmax |
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Représentation Eadie-Hofstee |
Cette représentation fût publiée par George Eadie en 1942 et Baren Hofstee en 1959 : |
L'équation de Michaëlis-Menten est linéarisée en |
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Cette représentation est une droite de pente -Km et qui coupe l'axe des Vi au point Vmax. |
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Représentation de Hanes-Woolf |
Cette représentation fût publiée par Charles Hanes et Barnet Woolf en 1932 : |
L'équation de Michaëlis-Menten est linéarisée en |
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Cette représentation est une droite de pente 1/Vmax et qui coupe l'axe des [S] au point (-Km). |
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Représentation de Eisenthal et Cornish-Bowden |
Cette représentation fût publiée par Robert Eisenthal et Athelstan Cornish-Bowden en 1974. |
Pour chaque couple de vitesse initiale et concentration initiale de substrat (Vi,[S]) la droite, définie par le couple de points [([S],0);(0,Vi)], est tracée dans le repère cartésien (v, [S]). |
On obtient : |
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Théoriquement, nous avons un faisceau de droites concourantes en un même point de coordonnées : (Km, Vmax). Pratiquement les droites concourent dans un petit rectangle et on prend le milieu des côtés pour déterminer (Km, Vmax). |